Corporate Branding et conversations sociales des salariés

C’est bien connu de tous désormais, les salariés, d’une façon ou d’une autre, parlent ou font allusion à l’Entreprise dans laquelle ils travaillent.

L’actualité a fait état d’employés licenciés pour avoir tenu des propos diffamatoires ou déplacés sur leur entreprise ou leur supérieur.

Certains de ces dérapages étaient tout à fait conscients et délibérés, mais pas tous.

Plutôt que de fustiger et d’essayer de reblanchir et redorer le blason de l’Entreprise au fur et à mesure des dérapages, ne serait-il pas plus simple et plus sain d’éduquer ses salariés et de leur indiquer clairement ce qui peut se faire, se dire…. ou pas?


Si vous avez besoin de construire une “Social Network Policy”, nous pouvons vous accompagner dans cette démarche


Voici donc à ce sujet un article très intéressant de Caroline David:


Les salariés font la réputation de leur entreprise sur le web 2.0

Les salariés font la réputation de leur entreprise sur le web 2.0

Nombreux sont les adeptes de Facebook, Twitter, LinkedIn ou encore Viadeo qui au-delà de leur statut d’internautes, sont aussi salariés d’entreprise et n’hésitent pas à parler de leur employeur sur la toile.


Ils seraient même 15%, d’après les derniers résultats de l’Observatoire Hopscotch-Viavoice « Salariés et médias sociaux » à s’épancher sans sourciller sur la société qui les embauche. « Ce qui représente tout de même 2,5 millions de personnes, rien que dans le secteur privé, précise Jérôme Lascombe, Président d’Hopscotch. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la grande majorité en parle plutôt… en bien ! Sur les 1 000 personnes interrogées lors de l’enquête, 67 % déclarent s’exprimer en termes positifs sur leur employeur, quand 21 %, le critiquent.

Bien qu’ils soient à 86 % conscients des enjeux et des risques de sanction que ce manque de discrétion peut coûter, presqu’un quart des salariés critiquent tout de même leur entreprise sur les médias sociaux. 64 % pensent d’ailleurs que ces commentaires sont amenés à se répandre de plus en plus à l’avenir. Un enjeu pour les employeurs à ne pas prendre à la légère, prévient Jérôme Lascombe, « car tous n’ont pas encore saisi l’importance, ni le potentiel positif que les médias sociaux recouvrent

12% des salariés ont été sensibilisés

Que ce soit par une charte normative ou un guide d’usages des médias sociaux, seulement 12 % des sondés déclarent aujourd’hui avoir été sensibilisés à la question par leur employeur. Or, il serait judicieux, selon le Président d’Hopscotch, d’ouvrir plus largement le dialogue dans les entreprises et d’informer les collaborateurs sur les enjeux et les risques de ces plateformes afin d’en tirer le meilleur parti.

« C’est un phénomène encore récent, qui s’est développé massivement et très rapidement. Il ne faut pas oublier qu’en plus de ceux qui peuvent nuire à l’entreprise, il y a aussi toute une population qui elle est prête à la défendre, rappelle Jérôme Lascombe. Il est donc important que les dirigeants s’y intéressent de plus près. » Un arsenal juridique existe pour se défendre contre des propos infamants, mais il faut surtout agir en amont car en matière de réputation, le mal se propage souvent dès la publication.

Caroline David

Selon l’APEC Suisse la tendance mondiale est au recrutement au travers des Réseaux Sociaux

Dans un article paru aujourd’hui dans la Tribune de Genève, l’APEC Suisse fait judicieusement remarquer que si l’utilisation des Réseaux Sociaux par les recruteurs et les personnes en recherche d’emploi n’est encore pas largement répandue sur le territoire helvétique, ce n’est qu’une question de temps. Il suffit d’observer nos homologues outre Atlantique pour avoir une idée du futur en la matière.

Si posséder une identité numérique n’est pas encore indispensable, cela va le devenir. Mieux vaut donc s’y préparer dès maintenant et gagner dès aujourd’hui un avantage concurrentiel.

Suivent quelques premiers conseils en matière de “Personal Branding” et une remarque très judicieuse sur la communication induite par les réseaux sociaux et le rapport de force informatif recruteur-candidat.

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Voici l’article de la Trinune de Genève:

«Optimisez la gestion de votre carrière sur Internet»

| Les réseaux sociaux professionnels deviennent incontournables pour chercher un emploi et élargir ses relations. Le fonctionnement de ces outils est encore méconnu

OCE | 19.01.2011 | 01:50

Saviez-vous que 40% des recruteurs au Canada et aux Etats-Unis cherchent des candidats essentiellement sur les réseaux sociaux professionnels? Or, «ce sont ces responsables RH qui annoncent la tendance mondiale», assure Philippe Loiseau, responsable de l’APEC Suisse, l’association pour l’emploi des cadres. D’ailleurs, en Suisse, de plus en plus de recruteurs ne se contentent pas des informations contenues dans un CV pour sélectionner les postulants ou préparer un entretien d’embauche; ils vont sur le Net. «Ils veulent savoir s’il y a des différences avec son CV, précise ce cadre, et également si le candidat est présent et actif sur les réseaux sociaux. Ils observeront alors son image, ses contacts, les informations données.»

Une nouvelle compétence

Mais est-ce indispensable d’avoir une vie numérique professionnelle? Son absence disqualifiera-t-elle un candidat à l’embauche? «Non, on n’est pas disqualifié aujourd’hui, répond Jean Christophe Anna, consultant à l’APEC. Mais on risque de l’être demain. Avoir une existence en ligne et maîtriser son image devient donc une nouvelle compétence.» Pour Philippe Loiseau: «C’est important d’y être, car les réseaux professionnels sont des vecteurs qui aident à rechercher un emploi, à gérer sa carrière et à agrandir ses contacts professionnels.»

Une identité numérique cohérente

En France déjà, un recruteur est «bon» lorsqu’il a le réflexe de chercher des informations sur un candidat en «googlisant» ses noms et prénoms. Autrement dit, il tape ceux-ci dans le moteur de recherche de Google. Mieux vaut donc apparaître en début de liste. Si l’on est novice, Jean Christophe Anna recommande de choisir deux des trois réseaux professionnels qui comptent: l’Américain LinkedIn, le plus fréquenté, le Français Viadeo ou l’Allemand Xing. La pratique déterminera lequel deviendra prépondérant.

Pour ce cadre, qui animera un atelier sur ce thème à la Cité des métiers et de la formation (encadré), il faut s’y créer une «identité numérique cohérente». Identité numérique? C’est l’image de soi en ligne, ce que l’on dit de soi et que l’on peut maîtriser. Contrairement à l’«e-réputation», qui concerne ce que les autres diffusent sur vous. Une «identité numérique cohérente» signifie que l’on mettra sur ces réseaux professionnels la même photo de présentation; les mêmes mots-clés pour se définir; les mêmes informations. Philippe Loiseau ajoute: «Il faut savoir quel type d’information on souhaite donner à autrui tout en restant soi-même.»

Etre actif sur les mini-forums

Au cadre novice au chômage, Jean Christophe Anna conseille de constituer un bon profil et, surtout, d’être actif en participant aux mini-forums de discussion de Linkedin ou de Viadeo. Il informe: «Cela permet une veille sur son secteur d’activités et le dialogue avec d’autres professionnels. Ils sont aussi fréquentés par des recruteurs.»

Le danger Facebook

Facebook, qui est un réseau social, a déjà fait des dégâts professionnels. En France, un cadre a été licencié pour y avoir critiqué son RH: un «ami» l’avait dénoncé. «Facebook est potentiellement dangereux, car on n’y a pas toujours de vrais amis», avertit Jean Christophe Anna. «Il faut faire attention à son image et être vigilant sur ses paramètres de confidentialité.» Aux Etats-Unis, c’est le premier site consulté par les recruteurs! En France, une charte interdit cette pratique aux recruteurs. En Suisse, c’est à ses employés que l’administration fédérale en interdit l’accès. Pour Philippe Loiseau: «Sans tomber dans la paranoïa, on doit être mature et savoir bien dissocier vie professionnelle et vie privée.»

Une révolution

Les réseaux profitent aussi aux candidats pour un entretien d’embauche: ils y trouvent des informations sur les responsables RH. Jean Christophe Anna observe: «Recruteurs et candidats n’ont jamais eu autant d’outils pour établir une relation, pour s’informer les uns sur les autres. Avant, le recruteur dominait, car il avait plus d’informations. Maintenant, la relation s’est équilibrée. C’est une révolution!»

Les réseaux sociaux, outils principaux de recrutement?

Voici un article intéressant paru dans Le Monde.fr / Technologies au mois de juin dernier qui me semble très intéressant car il donne des chiffres et fait donc un point de la situation plus européen sur la percée des Réseaux Sociaux dans le monde du recrutement. Il reste du chemin à faire, mais le mouvement est amorcé!

Les réseaux sociaux, outils de recrutement ?

LEMONDE.FR | 21.06.10 | 11h21  •  Mis à jour le 21.06.10 | 12h03

Une page de profil du réseau professionnel Linkedin.

Une page de profil du réseau professionnel Linkedin.Linkedin

Près de 30 millions de d’inscrits sur le réseau social professionnel Viadeo, lancé en 2004, dont 3,5 en France ; plus de 70 millions sur Linkedin dans le monde, dont la version française, lancée l’an dernier, en compte près de 2 millions… Ces réseaux professionnels en ligne sont en pleine croissance, mais ceux-ci sont-ils vraiment utiles pour les candidats et les recruteurs ? Tel est l’objet d’une étude du site de recrutement Regionsjob.com, portant sur plus de 2 200 candidats, âgés de 18 à 60 ans, et sur 157 responsables des ressources humaines, présentée vendredi 18 juin.

  • Les réseaux sociaux sont-ils massivement utilisés à des fins professionnelles ?

Les sites de recherche d’emploi, utilisés par 97 % des candidats, demeurent les principaux supports de recherche, devant les candidatures spontanées (71 %). Ils sont 36 % à déclarer utiliser les réseaux sociaux dans leur recherche d’emploi. “Les réseaux sociaux servent à prolonger le réseau personnel. Ceux qui utilisent les réseaux sociaux sont également plus actifs sur les autres plates-formes de recrutement”, souligne Flavien Chantrel, chargé de projet Web communautaire de RegionsJob. Alors qu’un candidat utilise en moyenne quatre modes de recherche différents, les utilisateurs de réseaux sociaux en utilisent 4,8.

Du point de vue des recruteurs, l’outil de prédilection demeure largement le site d’emploi (88 %), devant les candidatures spontanées (80 %) et le site des ressources humaines de l’entreprise (61 %). Représentant 47 % des réponses, les réseaux sociaux arrivent au même niveau que les cabinets de recrutement. “Il ne faut pas nécessairement y voir une concurrence ; s’ils peuvent paraître chronophages pour les entreprises, les réseaux sociaux sont un bon outil pour les cabinets, afin de cibler des candidats potentiels”, explique Gwenaëlle Hervé, responsable de la communication de Regionsjob.

  • Quelle importance pour les utilisateurs ?

“Les candidats à l’emploi sont assez sceptiques sur l’utilité des réseaux sociaux à des fins professionnelles. Les réseaux spécialisés s’en sortent toutefois mieux”, observe aussi Flavien Chantrel. 34 % des candidats sondés par Regionsjob pensent en effet que le réseau professionnel Viadeo “joue un rôle important” dans la recherche d’emploi ; ils sont 26 % à plébisciter Linkedin. Les autres réseaux sociaux font l’objet d’une plus grande défiance. Seuls 7 % des candidats sondés estiment que Facebook est utile à la recherche d’emploi ; le site de micro-blogging Twitter ne recueille que 9 % d’opinions favorables.

Chez les recruteurs, seuls 19 % estiment que les réseaux sociaux sont un moyen important de trouver des candidats, contre 77 % pour les sites d’emploi. “L’arrivée des réseaux sociaux est plutôt bien intégrée, mais il s’agit d’un outil additionnel, qui ne vient pas bouleverser les usages des recruteurs”, remarque Gwenaëlle Hervé.

  • Quel est le profil des candidats ?

Sur les réseaux sociaux, les chercheurs d’emploi sont âgés de 25 à 34 ans, majoritairement titulaire d’un bac + 5, la plupart du temps “en situation de recherche passive” car déjà en poste, et recherchent majoritairement dans la communication et le marketing.

Le recruteur type, lui, est un dirigeant d’entreprise de moins de 50 salariés, en quête de commerciaux, informaticiens et ingénieurs. “Les profils les plus faciles à trouver sur les réseaux sociaux ne sont pas nécessairement ceux que recherchent les recruteurs”, note Gwenaëlle Hervé.

  • Y a-t-il du profilage sur les réseaux sociaux ?

36 % des recruteurs sondés affirment faire des recherches sur les candidats potentiels, mais seulement 5 % disent avoir écarté une candidature après avoir trouvé des traces négatives. Ils sont 8 % à avoir embauché après avoir trouvé des traces positives. “Les recherches ne sont effectuées ni par toutes les entreprises, ni systématiquement pour tous les profils. L’e-réputation (réputation en ligne) est une information complémentaire, qui n’est pas prise au premier degré par le recruteur”, souligne Gwenaëlle Hervé.

Les candidats ont de plus en plus conscience des enjeux liés à la réputation en ligne. Dans cette perspective, plus de deux tiers des postulants en ligne ont fermé l’accès de leur profil Facebook au grand public. Toutefois, la vérification des “traces numériques” n’est pas systématique : les candidats vérifiant régulièrement les résultats de leurs nom et prénom dans le moteur de recherche de Google représentent 54 % des cas.

Laurent Checola

LinkedIn publie la liste 2010 des termes les plus fréquemment utilisés dans les profils professionnels

Le réseau professionnel LinkedIn publiait le 20 décembre 2010 la liste des 10 termes les plus fréquemment utilisés dans les profils professionnels, ainsi que les recommandations de ses experts pour se démarquer de la foule.

Les mots et expressions les plus utilisés par les professionnels européens sont les suivants :

1. Innovant
2. Dynamique
3. Motivé
4. Grande expérience
5. Proactif
6. Esprit d’équipe
7. Solides antécédents
8. Valeur ajoutée
9. Centré sur les résultats
10. Apte à résoudre les problèmes

« Compte tenu des nombreux profils publiés sur LinkedIn, nous sommes en mesure de déceler des tendances intéressantes sur le marché de l’emploi, souligne DJ Patil, Chief Data Scientist chez LinkedIn. Dans le cas présent, nous voulions informer les professionnels afin de les aider à faire de meilleurs choix sur la façon de se positionner en ligne, qu’ils soient ou ne soient pas à la recherche d’un emploi. »

« Des expressions telles que “grande expérience” et “solides antécédents” peuvent sembler creuses à un employeur potentiel et s’avérer plus négatives que positives lorsque vous les utilisez dans votre profil ou CV , déclare Katie Ledger, membre du Conseil BrandYou et auteur de And what do you do ?. Si vous avez utilisé l’un de ces dix termes, supprimez-le. Dites plutôt que vous avez huit ou dix ans d’expérience, ou que vous avez augmenté les ventes de 300 %. Utilisez des expressions explicites qui ont un lien direct avec vos réalisations professionnelles. N’oubliez pas que les employeurs et collaborateurs potentiels s’intéressent plus à ce que vous avez fait qu’à ce qui figure sur votre carte de visite. »

BrandYou

BrandYou est une campagne marketing et de RP européenne lancée par LinkedIn en novembre 2010 pour mettre en évidence l’importance croissante de la gestion de la marque personnelle à toutes les étapes de la carrière d’un individu. Au cœur de cette campagne, le Conseil BrandYou réunit des experts européens en marketing qui couvrent tous les aspects de la gestion des marques, de la recherche et l’analyse au développement et à la mesure de la marque.

Voici quelques conseils dont vous pouvez vous inspirer pour accroître le nombre de personnes qui consultent votre profil sur LinkedIn :

Optimisez votre profil

Veillez à ce que votre profil LinkedIn soit complet et contienne tous les postes que vous avez occupés. Un profil qui contient plusieurs postes a 12 fois plus de chances d’être consulté. Pensez aussi à y ajouter une photo : un visage ne s’oublie pas.

Construisez votre réseau relationnel

Connectez-vous à au moins 35 contacts de confiance. Il vous suffit d’importer vos contacts pour commencer à trouver des relations de premier, deuxième ou troisième niveau, travaillant dans des entreprises que vous souhaiteriez ajouter à votre liste de clients ou contacter.

Améliorez la position de votre profil dans la page de résultats de Google

Avez-vous effectué une recherche sur votre nom avec Google ? Si ce n’est déjà fait, allez-y. Nombreux sont ceux qui effectuent ce type de recherche avant une réunion ou un entretien. Personnalisez l’adresse Web de votre profil pour qu’il apparaisse en haut de la page de résultats.

Publié le 04/01/2011 par Focus rh: http://tinyurl.com/5vqu7m7

Les réseaux sociaux absents des entretiens d’embauche

Lors d’un entretien d’embauche, 9 candidats sur 10 n’ont jamais été interrogés sur leurs profils déposés sur un réseau social, selon un sondage réalisé par StepStone et rendu public le 15 avril dernier.

Sur les 10 951 spécialistes et cadres qui ont répondu à cette enquête, 90 % affirment que les recruteurs ne leur ont jamais fait part d’informations trouvées sur leurs profils de réseaux sociaux personnels lors d’un entretien d’embauche.

Seuls 6 % des personnes interrogées se sont vues poser des questions de ce type par des Responsables des ressources humaines au cours de leur recrutement. 4 % pensent que les représentants des sociétés pour lesquelles ils ont passé un entretien ont utilisé des informations issues de ces supports, sans toutefois le préciser lors de l’entretien.

« Il est évident que les recruteurs ont beaucoup moins recours aux réseaux sociaux que ce que les gens croient. Notre étude le montre : dans la grande majorité des cas, les candidats ne sont pas passés au crible de leurs profils de réseaux sociaux. C’est encore plus vrai dans le cadre de recrutement de profils relativement rares : les recruteurs préfèrent alors faire confiance à des méthodes éprouvées pour déterminer l’adéquation du candidat au poste proposé », soutient Valérie Vaillant, directeur général de StepStone France.

Le pourcentage de candidats n’ayant jamais eu à répondre à des informations tirées de leurs profils de réseaux sociaux est pratiquement identique d’un pays à l’autre, tout du moins dans les 8 pays sondés pour cette enquête. C’est la Suède qui obtient le score le plus haut, avec 93 %. A l’inverse, c’est la Norvège qui obtient le taux le plus haut de candidats confrontés à leurs profils de réseaux sociaux lors d’un entretien d’embauche, avec 10 %.

source Focusrh: http://tinyurl.com/4e4rqd8


Un train pour pont entre rêve et réalité?

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Expression Coaching Evolue !

Bienvenue sur le nouveau site d’Expression Coaching!
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