“BeKnown”, la nouvelle apps sur Facebook pour booster votre carrière?

Monster lance BeKnown, une application de réseau professionnel sur Facebook

lundi 27 juin 2011, source

Monster Worldwide lance aujourd’hui BeKnown, une application de réseau professionnel dont l’objectif est de permettre aux utilisateurs de Facebook de se constituer un réseau professionnel sur Facebook. Grâce à BeKnown, les internautes peuvent se connecter en toute transparence avec des amis ou de nouveaux contacts professionnels de toutes provenances. Ils peuvent développer leur réseau, étoffer leur identité professionnelle sur le Web et découvrir de nouvelles opportunités de carrière. BeKnown peut être téléchargé sur http://apps.facebook.com/beknown/welcome?WT.mc_n=pr_bk_fr dans 19 langues différentes et est accessible à tous les utilisateurs de Facebook.

BeKnown vient enrichir le portefeuille croissant de solutions de Monster qui permettent de toucher les candidats à l’emploi où qu’ils se trouvent et selon les modalités qu’ils ont choisies, tout en permettant aux recruteurs d’amplifier leur champ d’action tout au long du cycle de recrutement : recherche, mise en correspondance et gestion des talents. BeKnown propose le réseautage professionnel à une audience très large qui comprend les professions des secteurs de la médecine, de l’ingénierie, de l’éducation, de la distribution, et de nombreux autres secteurs.

Monster a développé une fonctionnalité unique : un programme de références sociales « SRP » (Social Referral Program), qui encourage les utilisateurs de BeKnown à faire connaître des offres d’emploi via leur réseau BeKnown. La fonctionnalité SRP joue ainsi le rôle d’amplificateur de réseau et permet également de toucher des candidats passifs. SRP existe actuellement en version bêta, et sera déployé pour certains clients de Monster.

Le réseau BeKnown apporte des avantages inédits tant aux utilisateurs réseau souhaitant développer leur carrière qu’aux entreprises à la recherche de talents.

Grâce à BeKnown les utilisateurs de Facebook peuvent :
– Développer leur réseau professionnel au sein d’un environnement créé par Monster, sans jamais quitter leur réseau social favori ;
– inviter facilement les contacts d’autres réseaux sociaux afin de développer leur réseau BeKnown au-delà de leur réseau Facebook ;
– séparer d’un côté les activités partagées avec leurs amis et leur famille, et de l’autre leurs activités professionnelles ;
– identifier qui de leurs contacts BeKnown sont liés à une entreprise, ou savoir quelles offres d’emploi peuvent les intéresser;
– connecter leur réseau professionnel aux outils de recherche et de consultation d’emploi de Monster, et importer leur profil Monster sur BeKnown directement depuis l’application.

BeKnown permet aux recruteurs :
– d’avoir accès à un vaste vivier de talents dans le monde entier, sur Facebook, dont le nombre total de membres est estimé à 700 millions,
– d’étendre la visibilité et la portée des offres d’emploi publiées à un environnement à fort trafic ;
– d’augmenter les possibilités d’atteindre les candidats dits passifs : BeKnown permet en effet aux utilisateurs de suivre les opportunités d’emploi ainsi que l’activité digitale des entreprises ;
– de transformer les réseaux de recruteurs et d’employés en sources de recommandation.

Vous retrouver dans mes yeux…big glasses is watching you

Je découvre ce soir un article de Mashable concernant le projet “Eyez Vidéo Glasses”. Mettez une paire de lunettes dignes de Woody Allen et voilà….tout ce qui est à portée de votre regard est instantanément retransmis sur vos réseaux sociaux de prédilection, en HD. Rien de moins.

C’est le genre de gadget génial, dont je ferais partie des early adopters ou testeurs. On imagine volontiers combien on peut travailler à la construction de son “Personal Branding” en plongeant son audience dans son quotidien…..comme on imagine la peur d’une entreprise de voir à son insu le quotidien de ses collaborateurs filmé et diffusé depuis le regard de l’un d’entre eux.

Je ne peux m’empêcher de me poser quelques questions quant à la confidentialité, la vie privée des uns et des autres ainsi que d’autres problématiques juridiques, comme celle de la propriété intellectuelle, s’il me prend l’envie de lire un livre sous copyright ou d’aller au cinéma avec mes belles lunettes de Woody Allen.

Google lors de sa mise en place de Google Street a dû à plusieurs reprises faire marche arrière ou aménager les prises de vues au nom du respect de la vie privée. On imagine facilement les réactions qui vont être provoquées par Eyez.

Au delà de tout cela je m’interroge sur le monde de demain, la notion de confidentialité opposée à celle de transparence. Nous assistons de façon accélérée à une sorte de remise en question du pouvoir et de ses éventuelles décisions jugées arbitraires placée sous l’épée de Damoclès des réseaux sociaux.

Si d’aucuns pensaient que les réseaux sociaux étaient une mode, il me semble que la question n’a plus lieu d’être. Personnellement celle qui me vient à l’esprit est plutôt, jusqu’où cette révolution social-médiatique va t-elle nous porter et…à quel point sommes nous prêts?

Sommes nous, nous occidentaux, qui avons choisi la voie de l’individualité, prêt à plonger dans la collectivité, la tribalité? Où mettrons nous la limite?

Tourner les doigts 7 fois sur son clavier avant de Twitter

Condamné par la justice à s’excuser 100 fois sur Twitter!


“Il doit twitter le même message d’excuses toutes les 35 minutes

C’est une décision inédite qu’a prise un tribunal de Malaisie. Un homme a été condamné pour diffamation à s’excuser publiquement sur le réseau social Twitter.

J’ai diffamé Blu Inc Media et Female Magazine. Mes tweets sur leur politique de ressources humaines étaient faux. Je retire ces mots et m’excuse.” C’est ce message qu’un Malaisien doit poster 100 fois en trois jours sur le réseau social Twitter.

Fahmi Fadzil, activiste bien connu dans son pays, avait écrit sur Twitter en janvier dernier que l’une de ses amies avait été maltraitée par son employeur alors qu’elle était enceinte. Une accusation qui s’était révélée fausse par la suite. La société Blu Inc Media avait alors immédiatement enclenché les poursuites contre l’internaute. Finalement, l’accord s’est réglé à l’amiable entre les deux parties.

Ils ont réclamé que je twitte des excuses cent fois au total pendant trois jours, et ce sera la fin de leurs poursuites“, a déclaré l’homme à l’AFP. Depuis le jeudi 1er juin et toutes les 35 minutes il tient parole et numérote ses différents messages d’excuses, tout en remerciant entre temps ses soutiens et en s’étonnant du buzz qu’il provoque sur la Toile.

Cette décision de justice intervient alors que les Malaisiens sont de très gros consommateurs d’Internet et de réseaux sociaux. “Il y a déjà eu des excuses via internet mais c’est la première fois que la justice demande à ce qu’elles soient “twittées” en Malaisie, affirme l’avocat de Fahmi Fadzil. Il admet toutefois que ce genre de condamnation va permettre aux utilisateurs du réseau de micro-blogging de bien mesurer la portée de ce qu’ils écrivent sur le web et qu’ils ne peuvent le faire en toute impunité.”

Source

Maturation de l’utilisation des réseaux sociaux liée à la recherche d’emploi?

Article paru dans Indice RH suite à l’enquête menée par Kelly services sur l’utilisation des réseaux sociaux et ses résultats dans la recherche d’emploi.

20% des personnes interrogées ont trouvé leur dernier emploi via internet. Ce qui freine encore l’utilisation massive des réseaux sociaux est la peur du risque que représente la présence de données personnelles sur les différents supports sociaux, et notamment Facebook. Allons nous vers une éducation en la matière, de ce qu’il convient de livrer publiquement ou non? Chacun va t-il devoir, à l’instar des personnes connues, apprendre à gérer scrupuleusement sa réputation en ligne?



dessin de Xavier Gorce sur http://publinet.ic38.fr/WP_Elodie/

dessin de Xavier Gorce sur http://publinet.ic38.fr/WP_Elodie



Les Français utilisent les réseaux sociaux pour trouver un emploi, mais 44% sont inquiets des risques

mai 23, 2011 par IndiceRH


1 personne sur 5 interrogée en France a obtenu son dernier emploi grâce à Internet, mais beaucoup prennent conscience des conséquences professionnelles que peut avoir la diffusion en ligne de données personnelles, selon une enquête de Kelly Services, un des leaders mondiaux du recrutement et des solutions de ressources humaines.

 

13% parcourent des sites comme Facebook®, LinkedIn® et Twitter® à la recherche d’opportunités professionnelles

 

20% des personnes interrogées ont obtenu leur dernier emploi d’après une annonce en ligne et 1% sur les sites de réseaux sociaux. 38% par une société de recrutement/d’intérim, 16% par le « bouche à oreille », 12% par approches directes des entreprises, 10% par des méthodes « autres », 3% par annonces presse.

Parmi les principaux réseaux sociaux, Facebook est le plus populaire auprès des jeunes de 18 à 29 ans pour la recherche d’emploi, alors que les 30-47 ans et les baby boomers (48-65 ans) préfèrent LinkedIn.

 

Selon Marc Riou, Directeur Général de Kelly Services : « L’utilisation du média social dans la recherche d’emploi devient plus fréquente car elle permet aux personnes de cibler précisément le poste voulu, et même l’entreprise où elles souhaitent travailler. Les candidats et employeurs sont plus en plus adeptes de ce moyen, qu’ils pressentent comme un futur réel moyen de trouver du travail et de faire progresser sa carrière ».

 

39% sont vigilants au contenu de leurs pages perso

 

Si les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisés comme un outil de recrutement, ils génèrent une certaine inquiétude quant aux éventuels « dégâts » qu’ils peuvent causer dans les carrières professionnelles. Plus d’un tiers des répondants admettent être vigilants sur le contenu de leurs pages pour éviter des problèmes au niveau professionnel.

44% des personnes interrogées sont même inquiètes à l’idée que du contenu publié sur leurs pages personnelles puisse avoir un impact sur leurs carrières.

 

“Il est clair que les réseaux sociaux changent la façon dont les gens recherchent un emploi et s’engagent dans des conversations à but professionnel. Comme toute nouvelle technologie, les personnes apprennent et passent par une phase d’apprentissage et en mesurent les aspects positifs et négatifs. La prudence est de rigueur lorsqu’il s’agit de leur carrière professionnelle », commente Marc Riou.

 

15% des répondants affirment qu’il est essentiel d’être présent sur les réseaux sociaux pour évoluer professionnellement.

 

Mais malgré la popularité grandissante des réseaux sociaux, la majorité des personnes interrogées (65%) passent une heure ou moins par jour sur des sites de media sociaux, tandis que 25% ne les utilisent pas du tout. Seulement 10% s’y rendent plus d’une heure par jour.

Seules 16% des personnes interrogées attestent que leurs employeurs ont instauré des règles pour réglementer l’utilisation des réseaux sociaux sur le lieu de travail.

 

Méthodologie :

L’enquête Kelly Global Workforce Index a été réalisée d’octobre 2010 à janvier 2011 via l’ensemble des sites Internet du groupe Kelly et a collecté les opinions d’environ 97.000 personnes dans 30 pays, dont plus de 6100 en France.

Pour plus d’informations concernant les résultats de l’enquête et d’autres conclusions générales, nous vous invitons à visiter Kelly Global Workforce Index.

 

À propos de Kelly Global Workforce Index™

Le Kelly Global Workforce Index est une enquête international réalisée chaque année sur le monde du travail vu  d’un point de vue générationnel.

Près de 97,000 personnes des zones Ameriques, Asie-Pacifique et Europe-Moyen Orient-Afrique ont répondu à l’enquête 2011. Les résultats sont publiés tous les trois mois. Kelly Services a obtenu un MarCom Platinum Award en 2010 et un Gold Award en 2009 pour le Kelly Global Workforce Index dans la catégorie Recherche/Etude.

l’Innovation au sein de l’entreprise meilleur “booster” de carrière?

Article très intéressant concernant la capacité à innover non plus seulement en tant qu’entrepreneur mais intrapreneur.

Si 85% des talents ont potentiellement la capacité à innover, leur permettre de la traduire en avantage compétitif bien concrêt pour leur entreprise est une autre affaire.

Une démarche structurée pour donner corps aux idées est indispensable. Raphaël H. Cohen, co-directeur académique du diplôme en “Entrepreneurship Business Développement” à HEC Genève,”serial entrepreneur” et “business angel”, rompu à l’innovation et l’entrepreunariat, porte à la connaissance de tous son savoir faire au travers du modèle IpOp. Ce modèle est développé dans son e-book téléchargeable librement. Il ne tient plus qu’à vous d’entreprendre!


Comment «booster» votre carrière

Cap sur les pratiques qui stimulent la créativité dans le monde de l’entreprise

Raphael H Cohen Interview  de la Tribune de Genève 25 mai 2011

Winning opportunities, IpOp Model

“Le salarié de l’ère 2. 0 n’est vraiment pas un simple exécutant: on lui demande d’être innovant et créatif. Son chef lui demande de sortir des «sentiers battus» afin de dégager des solutions nouvelles! Si tout le monde en parle, quelle est véritablement cette nouvelle tendance et avons-nous tous un potentiel créatif en soi? Comment donner un coup de fouet à son développement professionnel? Le professeur Raphaël H. Cohen, codirecteur académique du diplôme en «Entrepreneurship Business Development» à HEC Genève, nous explique comment s’y prendre pour s’éclater huit heures par jour au boulot!


Que signifie «booster sa carrière»?

C’est avant tout faire preuve d’agilité. Et exploiter les opportunités qui se présentent. Car saisir des opportunités n’est pas réservé aux créateurs d’entreprises; c’est aussi ce que les personnes en emploi devraient faire pour progresser professionnellement.


Comment trouver ces opportunités?

Le contact avec des clients, partenaires, autres collaborateurs conduit à avoir des idées. Ils n’osent malheureusement pas toujours les présenter à leur hiérarchie, car ils manquent souvent de confiance ou d’outils de validation.


Vous dites que le salarié doit oser pour faire bouger sa carrière?

Oui, mais pas n’importe comment. Il lui faut un mode d’emploi lui permettant de proposer des idées plus abouties à son management après les avoir validées. Le diplôme en Entrepreneurship et Business Development de HEC Genève, ouvert à des personnes sans formation universitaire préalable(http://entrepreneurship. unige. ch), donne justement les clés pour comprendre l’essentiel de la pensée marketing, de la négociation, de la finance et aussi tout ce qui touche aux relations et au fonctionnement des humains.


La créativité est-elle innée ou s’acquière-t-elle?

Il y a trois catégories de personnes dans les entreprises. Celles qui sont «tombées dans la soupe» et qui vont entreprendre toute leur vie, car ils ont la créativité dans leur sang; ils représentent environ 5% de la population. A l’autre extrême, nous retrouvons ceux qui ne peuvent même pas «sentir la soupe», ils sont dans un mode d’exécution et ne seront jamais innovants; on parle d’environ 10-15%. Entre les deux, il reste 80% de gens qui sont réceptifs à l’innovation. L’expérience a montré que, lorsqu’on leur donne des outils, entre 33% et 56% d’entre eux deviennent acteurs de leur évolution professionnelle.


Les entreprises cherchent-elles vraiment à valoriser l’initiative chez leurs salariés?

De plus en plus, car nous sommes dans des univers tellement concurrentiels que la seule voie pour se démarquer est celle de l’innovation. La part de l’économie européenne dans l’économie mondiale va passer de 19% à 7% d’ici à 2050. Compte tenu de cette évolution, la voie de la créativité sera vitale pour maintenir et créer des emplois.

Ces chiffres sont inquiétants. Comment s’adapter concrètement?

Ce ne sont pas les plus intelligents qui survivent, mais ceux qui s’adaptent le mieux. J’ai la conviction que c’est l’agilité qui sera la clé du succès des entreprises, mais c’est aussi celle de la réussite des personnes. Il faudra accepter de changer de métier, apprendre des professions ou pratiques nouvelles à tout moment dans sa vie professionnelle et non plus seulement en début de carrière.

 

Comment aidez-vous les gens à réussir?

En partageant avec eux les règles pragmatiques du succès laborieusement apprises durant ma carrière d’entrepreneur. Le «modèle IpOp», qui permet d’analyser les opportunités pour augmenter les chances de succès, en est un exemple.

 

Quelle suite pour votre carrière personnelle?

Comme «accélérateur de carrières» passionné, je souhaite continuer à stimuler les comportements entrepreneuriaux dans les entreprises. A cet effet, mon nouveau livre sera bientôt téléchargeable gratuitement sur internet(www. winning-opportunities. org).”

La guerre des talents annoncée par Heidrick & Struggles d’ici à 2015

source

Les Etats-Unis et les pays nordiques, les paradis des talents

L’étude “The Global Talent Index” du cabinet Heidrick & Struggles classe les USA et les pays Scandinave en tête de la gestion des talents au niveau mondial.


Les Etats-Unis et les pays nordiques, les paradis des talents

Heidrick & Struggles, cabinet de conseil en ressources humaines, vient de publier son baromètre : “The Global Talent Index”. Il analyse les données de 60 pays pour effectuer une projection globale sur les talents en 2011 et en 2015. Pour cela, le cabinet se base sur des critères tels que la qualité de l’enseignement ou de la main d’oeuvre et la propension à attirer des talents.

En tête de ce classement, on retrouve les Etats-Unis, qui resteront ancrés à cette première place jusqu’en 2015. Suivent les pays scandinaves : le Danemark, la Finlande et la Norvège, cette dernière devant être dépassée en 2015 par la Suède. Ces pays s’appuient notamment sur une excellente formation, ainsi que sur la qualité de leur force de travail.

Canada et Chine progressent fortement
En termes d’évolution, la Chine enregistre la plus forte progression de score entre 2011 et 2015. Bien que classé autour de la trentième place, le géant asiatique bénéficie d’une volonté croissante de ses autorités d’attirer la main d’oeuvre étrangère. Au niveau du classement, le Canada fait également un bond remarqué de la 14ème à la 8ème place. Un changement qui s’explique par une prévision de hausse des investissements gaziers et pétroliers dans ce pays.

Au-delà de ce classement, Heidrick & Struggles prévoit une véritable guerre des talents d’ici à 2015. L’Europe, en raison de sa faible natalité, aura besoin d’une main d’oeuvre extérieur. Les pays émergents auront également besoin de nombreux talents, en raison de la forte croissance de leur économie. La concurrence entre entreprises pour recruter devrait donc s’intensifier dans les prochaines années.

L’importance des profils Linkedin dans le recrutement

Selon un sondage réalisé sur Linkedin, 69% des recruteurs consultent le profil du candidat sur Linkedin avant interview.

L’importance des profils Linkedin dans le recrutement

L’importance des profils Linkedin dans le recrutement






Un profil optimisé démontre de votre réelle expertise, de vos capacités, de votre dynamisme ( fil d’acualité dans votre profil, par exemple), de votre aptitude à interagir au sein d’un réseau de qualité et à co-créer de la valeur.

Un conseil, soignez votre profil! Si vous ne savez pas comment vous y prendre demandez autour de vous ou embauchez un expert du personal branding.


Atelier de Personal Branding:

Programme de Mentoring en Personal Branding

Chercheur d’emploi, soyez flexibles, créatifs et optimistes!

Pierre Denier a demandé à Jacques Attali de donner l’élément clef de la réussite d’une recherche d’emploi: Il s’agit d’être Flexible, Créatif et Optimiste

Pas facile lorsqu’on est au chômage d’adopter l’attitude et le mental d’un entrepreneur accompli. Et pourtant, qui rêve d’engager pour progresser sur son marché, un collaborateur déprimé, négatif, obtus et sclérosé? A l’heure où tout n’est plus que changement permanent, que la performance se trouve dans l’interaction permanente interne comme externe, quelle peut être la place de celui qui s’accroche à des modèles désuets,se mure dans un status quo sans chercher à participer à l’innovation, au sens large, en cours?

Plus encore, les entreprises ont elle envie d’embaucher un enfant dépendant ou un adulte autonome ayant la capacité à saisir toute la richesse d’une vision neuve et flexible d’une réalité nouvelle à créer?

Mon sentiment est que chaque collaborateur doit, comme chaque entrepreneur, trouver suffisamment de confiance en ce qu’il est, en sa capacité à apprendre, co-créer et à s’adapter pour attirer les recruteurs. Compter sur l’entreprise pour se donner de la valeur appartient au passé. Compter sur la carte de visite professionnelle prestigieuse pour commencer à (re)exister est une erreur fatale de repère à mon avis.

La révolution sociale que nous vivons, parfois douloureusement, a ceci de formidable: elle nous donne la possibilité ‘d’exister pour nous, en total accord avec nos aspirations et nos valeurs. Nous ne trouvons plus forcément sur le marché la station Playmobil toute faite mais les briques de Lego dont nous choisissons la couleur et l’ordonnancement, aidés d’outils de design en freeware dernier cri qui repoussent les limites du possible.

Internet et les réseaux sociaux sont un excellent moyen de construire sa propre marque et de la promouvoir en en gardant la maîtrise. Il suffit de savoir ce que l’on veut vraiment pour soi, de s’immerger, de sentir, d’écouter et de regarder avec les bonnes lunettes. Apprendre avec ceux qui ont déjà expérimenté puis …………se lancer!


Je vous laisse découvrir l’article de Pierre Denier:


Le conseil de Jacques Attali

J’ai demandé à une personnalité du monde du recrutement, de l’entreprise, de la “blogosphère”, de nous livrer un conseil, un sentiment, une réflexion autour du thème suivant : “Si je devais vous donner UN conseil pour améliorer votre efficacité dans la recherche d’emploi, ce serait celui-là…”. Aujourd’hui, Monsieur Jacques Attali , économiste, écrivain, conseiller d’état honoraire et haut fonctionnaire que vous retrouverez entre autres sur “Conversations avec Jacques Attali” et “Jacques Attali” nous livre son point de vue :

Si je devais donner UN conseil pour améliorer votre efficacité dans la recherche d’emploi, je vous inviterais à vous penser et vous présenter comme ouvert et optimiste.

Par ouvert, j’entends flexible et créatif. La souplesse est devenue un atout essentiel sur le marché du travail. Je vous conseille donc d’accueillir favorablement les opportunités de conversion, les déménagements, les imprévus. Je ne prétends pas que changer est aisé. Je reconnais combien il est complexe et douloureux de s’adapter à un nouvel emploi et un environnement différent. Il reste qu’une attitude positive vis-à-vis du changement constituera une qualité très appréciée par n’importe quel employeur. La créativité est une seconde vertu que je vous engage à développer.

Je vous souhaite bon courage et bonne chance à tous.

source de l’article

Etude sur l’adaptation progressive des RH aux Réseaux Sociaux

Article intéressant qui s’appuie sur une étude menée par l’’ANDRH et Novamétrie démontrant que les Directions RH en viennent relativement  progressivement à l’utilisation des Réseaux Sociaux. En cause un certains nombre d’inconnues et des nouvelles pratiques à mettre en place. Pourtant leurs salariés interagissent déjà en ligne.


Une étude de l’ANDRH, en collaboration avec Novamétrie, publiée le 5 avril 2011, propose un regard croisé de 122 DRH et de 1000 salariés sur les évolutions des pratiques RH, en matière de réseaux sociaux, depuis 18 mois. Des pratiques qui évoluent… doucement.

« Si les réseaux sociaux n’ont pas fondamentalement changé les pratiques RH, il s’agit d’un outil complémentaire qui les fait évoluer », note Christophe Excoffier, président de Novamétrie. Ainsi, selon l’étude, si 1/3 des DRH admettent que leurs pratiques évoluent, 61% affirment qu’il n’y a pas eu de changements profonds. Une évolution en douceur, en quelque sorte. Pour Armand Mannechet, président du groupe ANDRH Paris XVIe, « les réseaux sociaux participent au développent du knowledge management, le partage des connaissances de chacun au profit de tous ». Comment ? Du point de vue des DRH, les réseaux sociaux permettent la création, l’animation et le développement des communautés. Une pratique intéressante à plusieurs titres : d’abord pour créer du lien social (86% des DRH), mais également pour s’adapter aux comportements numériques des salariés. Par ailleurs, 72% des salariés présents sur les réseaux sociaux sont membres d’une communauté.

Attirer et fidéliser les salariés

L’animation, le pilotage et l’organisation des réseaux sociaux représentent une réelle opportunité de changer les pratiques RH. S’ils souhaitent attirer et retenir les meilleurs talents, les professionnels RH ont donc tout intérêt à s’y engager. D’autant plus que 3/4 des salariés présents sur les réseaux sociaux y voient une opportunité de recrutement externe. On en compte plus de la moitié à estimer que les réseaux sociaux jouent un rôle grandissant dans le cadre de l’activité professionnelle.
Pourtant, si la part des réseaux sociaux dans le recrutement a tendance à légèrement augmenter, elle reste relativement faible (9%). Dans le même temps, les salariés développent leur marque personnelle sur ces réseaux et 15% des collaborateurs interrogés y ont déjà cherché un emploi.
On note également que si les 3/4 des salariés sont présents sur des réseaux sociaux externes à vocation personnelle comme Facebook, 1/3 possèdent un compte sur des réseaux sociaux externes à vocation professionnelle comme LinkedIn ou Viadeo.

Les salariés, porte-paroles incontrôlables ?

Une trop lente adaptation à ces nouvelles pratiques entraine des risques pour les entreprises, notamment en termes d’image. Si 61% des salariés interrogés parlent de leur entreprise de manière positive sur tous les plans (travail, collègues, entreprise, hiérarchie) et que 4 salariés sur 10 s’en proclament porte-parole, 13% en parlent négativement. 1/3 des salariés admet adopter un langage, une conduite et des règles de bienséance différentes sur les réseaux sociaux qu’en réunion. Ces salariés qui « sont très difficiles à encadrer » de l’avis d’un interviewé, ne sont pas toujours au fait de la législation et risquent donc de mettre en péril malgré eux, la réputation de leur entreprise. On en note ainsi près de la moitié (45%) à admettre que la législation sur les réseaux sociaux représente une « terra incognita ». Ainsi, 19% pensent se trouver dans leur droit s’ils venaient à critiquer une entreprise ayant mal agi à leurs yeux, 16% à ne pas craindre la justice lorsqu’ils twittent leurs doutes lors de la recherche de travail sur un futur employeur. Aussi, échanger des projets en cours (8%) ou encore critiquer le DRH de leur entreprise (10%) ne leur semblent pas répréhensible. Autant d’agissements déjà condamnés au tribunal…

Un avenir en pointillé pour les métiers dédiés …

Face à ces risques, 31% des DRH interrogés déclarent avoir mis en place des pratiques pour accompagner le risque d’image. 8% ont établis une charte dédiée. Des risques qui semblent trop peu considérés pour les entreprises, alors même que « les réseaux sociaux sont un outil où l’individu est mis au centre du dispositif de communication », rappelle Christophe Excoffier. Le contrôle reste donc l’apanage des grands groupes qui détiennent les moyens d’investir dans des métiers dédiés comme les community managers ou les responsables web 2.0. D’aucuns avancent que la majorité des entreprises demeure attentiste, et observe la potentielle valeur ajoutée de ces nouveaux métiers et le champ des possibles en termes d’organisation. Peut-être à juste titre, si l’on considère les propos d’Armand Mennechet pour qui « certains estiment que ce métier va disparaître tant l’usage du web 2.0 va s’étendre ».

Guilhem Cadoret

Recherche d’emploi: Facebook or not Facebook?

« Même s’il ne permet pas de faire un recrutement aussi ciblé que sur un jobboard, Facebook est un carrefour d’audience inestimable pour les recruteurs »,

Intéressant article paru chez Expectra qui illustre au travers de points de vue divergeants, les “pros and cons” de posséder un profil sur Facebook ouvert  à tous, et notamment accessible aux recruteurs.

n’hésitez pas à réagir en mettant vos commentaires plus bas.

 

Décupler son réseau de contacts

« Même si ce n’est pas sa vocation première, Facebook peut permettre aux candidats de parfaire leur réseau professionnel, au même titre que Viadeo et LinkedIn », Camille Alloing, chercheur R&D en innovations digitales au sein du groupe La Poste.

Une intrusion dans la vie privée

En mettant en ligne des informations d’ordre privé, « le candidat prend le risque d’influencer de manière négative la décision d’un recruteur peu vertueux », François Mathieu, community manager pour le site cBanque.

Débat : Facebook est t-il propice au recrutement ?

Facebook est t-il propice au recrutement ?

Le réseau social, qui fait l’objet d’un engouement sans pareil, est une plateforme qui intéresse de plus en plus candidats et recruteurs. Est-elle adaptée aux attentes de chacun ? Y a-t-il des risques à l’utiliser à des fins professionnelles ? Deux spécialistes partagent leurs points de vue.

L’été dernier, le Ministre de l’intérieur allemand Thomas de Maizière, déposait une proposition de loi visant à limiter l’usage des réseaux sociaux par les recruteurs.
Dans sa ligne de mire : le géant américain Facebook.
Quoique difficilement applicable, ce projet a toutefois soulevé de nombreuses questions parmi les internautes. Et notamment celle-ci : le site communautaire Facebook peut-il être à usage professionnel ?

Décupler son réseau de contacts

« Oui, assure Camille Alloing, chercheur R&D en innovations digitales au sein du groupe La Poste et auteur du blog CaddEreputation. Même si ce n’est pas sa vocation première, Facebook peut permettre aux candidats de parfaire leur réseau professionnel, au même titre que Viadeo et LinkedIn. » François Mathieu, community manager pour le site d’informations cBanque, ne partage pas cet avis. « Pour un candidat, il y a bien plus de risques que d’opportunités à utiliser Facebook autrement que comme un réseau social de relations interpersonnelles. » En d’autres termes : « Pourquoi utiliser Facebook à des fins professionnelles alors que des plateformes comme Viadeo et LinkedIn sont justement dédiées à la mise en valeur des compétences des candidats ? », s’interroge t-il.

C’est pour sa tonalité plus « décontractée » que certains candidats plébiscitent Facebook. « Contrairement à Viadeo et LinkedIn, les candidats inscrits sur Facebook peuvent interagir avec des recruteurs de manière informelle », souligne Camille Alloing. Mieux, la plateforme peut même servir une candidature un peu fade. À défaut de figurer dans un CV, les actions bénévoles et caritatives ainsi que les passions d’un candidat peuvent facilement trouver leur place sur un profil Facebook. « Le réseau social peut compenser un CV trop impersonnel et permettre aux recruteurs de confirmer ou d’infirmer les caractéristiques présentes sur le CV d’un candidat », ajoute t-il.

Une intrusion dans la vie privée

Selon l’ouvrage de Christine Balagué et David Fayon intitulé « Facebook, Twitter et les autres », 45% des recruteurs consulteraient les réseaux sociaux avant d’embaucher un candidat. Il faut donc garder en tête qu’en mettant en ligne des informations relevant de la sphère privée comme l’âge, la situation matrimoniale, la religion, les opinions politiques, les orientations sexuelles, « un candidat prend le risque d’influencer de manière négative la décision d’un recruteur peu vertueux », prévient François Mathieu.
Les cas de discrimination avant l’embauche ou de candidats ayant pâti d’avoir parlé de leur futur employeur sur le réseau social sont d’ailleurs nombreux… « Beaucoup d’internautes mésestiment encore l’impact que peuvent avoir leur propos sur Facebook. Ils ne sont pas assez prudents et mêlent leur sphère professionnelle et personnelle », déplore t-il.

Pour éviter d’éventuelles mésaventures, quelques précautions s’imposent. Créer deux profils – l’un professionnel, l’autre personnel – est une solution efficace « mais qui requiert du temps et de l’investissement » admet Camille Alloing. L’option qui consiste à maintenir privé son profil Facebook, c’est-à-dire accessible à des amis préalablement choisis, est, quant à elle, pertinente et permet d’observer moins de contraintes.

Du côté des recruteurs…

Sur ce point, nos deux experts se rejoignent. « Même s’il ne permet pas de faire un recrutement aussi ciblé que sur un jobboard, Facebook est un carrefour d’audience inestimable pour les recruteurs », assure François Mathieu. Le réseau social vient en effet de passer la barre des 20 millions d’utilisateurs en France. « Difficile, pour les recruteurs, d’être insensible à une telle audience », confirme Camille Alloing.

C’est donc en toute logique que les grands groupes et les cabinets de recrutement ont fait de Facebook leur nouveau terrain de chasse. À travers leur page « Fan », les entreprises publient leurs besoins en termes de recrutement, les profils qu’elles recherchent mais aussi les nouveaux produits qu’elles commercialisent. « Leur présence sur Facebook est stratégique puisqu’elles profitent de sa notoriété pour lancer de vastes campagnes de communication et ainsi soigner leur marque employeur », conclut Camille Alloing.

Aurélie Tachot